L’entraîneur de l’équipe réserve du GFA Rumilly Vallières revient sur la première partie de saison effectuée par son groupe, cinquième en championnat Régional 2.

Globalement, comment jugez-vous la première partie de saison réalisée par votre équipe ?

Avec cinq victoires et cinq défaites en dix matches, notre bilan comptable est équilibré. Nous avons réalisé réalisé un sans faute à domicile, avec quatre succès obtenus en quatre matches. On a eu un peu plus de difficultés en déplacement, avec une seule victoire décrochée en six rencontres. Avec vingt-trois buts marqués, on dispose de la co-meilleure attaque. En revanche, nous avons encaissé dix-sept buts, ce qui est beaucoup. Pour le moment, je dirais que nous sommes à notre place, au sein de cette poule homogène. Nous avons utilisé au total trente-et-un joueurs jusque là. Les jeunes ont été bien encadrés par les joueurs plus expérimentés, et notamment les éléments du groupe N3 qui ont su jouer le jeu lorsqu’ils sont redescendus. Malgré tous les changements d’un week-end à l’autre, il y a une belle osmose au sein du groupe. 

Quelles ont été vos forces et vos faiblesses jusqu’ici ?

Notre grande force selon moi a été la faculté d’adaptation des joueurs chaque week-end. Maintenant, il va falloir qu’on soit meilleur dans la gestion de nos temps faibles, où jusqu’ici, on a encaissé beaucoup de buts. On doit avancer tous ensemble là-dessus. 

Quels vont être les objectifs lors de la phase retour ?

Le premier objectif va être de bien finir la phase aller lors de la venue du FC Chaponnay Marennes le dimanche 4 février. Cela nous permettrait de basculer dans la première partie de tableau. Ensuite, l’idée va être de remporter le maximum de matches pour s’éloigner de la neuvième place, car quatre formations seront reléguées en fin de saison. Le calendrier ne sera pas simple sur le début de la phase retour. Je pense que fin mars, on saura réellement ce qu’on va jouer, les premiers rôles ou le maintien. Quoi qu’il en soit, on veut espérer terminer un peu plus haut au classement, il va falloir réaliser une série.